21 avril 2007
Jusqu'à ce que la mort nous sépare...
Et les ancolie veilleront sur
Mon triste épitaphe
"Cît gît gisait
La vivante qui pleurait"
La rage sûre et la peine à mon coeur
Effacent la haine et le goût à l'horreur
Paix à ton âme
Les roses anglaises
Dardent leur épines sévères
A même la chair éphémère
Putride
Les racines
Epousent la courbe de tes os
Et ce ...
Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Ainsi rêvait
La silouette courbée
Dont l'âme mélancolique
Pleurait au coin du feu.
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